États-Unis : à la rencontre des électeurs trumpistes de New York

États-Unis : à la rencontre des électeurs trumpistes de New York

RFI
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Cible de plusieurs affaires judiciaires dans sa ville natale, Donald Trump peut tout de même compter sur le soutien de partisans, dans l'arrondissement de Staten Island, de l'autre côté de la baie de New York.

Staten Island, c'est le quartier le moins peuplé de New York. Une banlieue résidentielle, où le vote républicain est plus répandu que dans le reste de la mégapole américaine. Comme dans le reste du pays, les affaires qui entourent le président n'empêcheront pas les électeurs conservateurs de voter pour Donald Trump. À Staten Island, il bénéficie du soutien de 60% des électeurs dans le cadre des primaires républicaines.

Une spécificité électorale qui s'explique par la démographie ce quartier, situé au large de Manhattan. La population est en grande majorité blanche. On y retrouve des ouvriers, ou encore des vétérans et le sujet de l'immigration est très présent dans les esprits. La mairie a tenté d'ouvrir un centre d'accueil de migrants sur place, mais de violentes manifestations avaient éclaté.

Néanmoins, ce vote républicain n'aura pas de conséquence sur la présidentielle. L'État de New York vote majoritairement pour le candidat démocrate.

Les conséquences de la violence sur les universités haïtiennes

Une fusillade a eu lieu dimanche (18 février 2024) sur un minibus qui assurait la liaison entre Port-au-Prince et Mirebalais. Au moins 10 personnes, dont le conducteur du bus ont été tuées à Morne à Cabris.

Cet évènement fait écho au cri d'alarme lancé en fin de semaine dernière par l'Association de propriétaires et chauffeurs haïtiens. Ils dénoncent l'installation de postes de péage par les bandes armées.

L'insécurité en Haïti a des conséquences sur les universités. Les établissements voient leurs inscriptions chuter. De nombreux étudiants font le choix de partir à l'étranger. Résultat : de nombreuses universités ont des difficultés à fonctionner.

Le British Museum victime d'un raid numérique

L'institution londonienne a décidé de restreindre l'accès à l'espace commentaires de ses publications. Depuis plusieurs semaines, les réseaux sociaux du musée sont inondées de commentaires en espagnol, de la part d'internautes chiliens. Ils demandent la restitution de deux statues moaï de l'île de Pâques, spoliées par les Britanniques au XIXè siècle.  Le British Museum s'est dit « favorable au débat » mais insiste sur la « nécessité de prendre en compte les considérations de sauvegarde »

Le journal de La 1ère

En Martinique, des manifestations de soutien à des propriétaires privés de leurs droits.